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vendredi 3 janvier 2014

Le poireau, une médecine pour le foie, les reins et le mental !


En médecine naturelle on les recommande surtout pour soulager les troubles respiratoires et pour leur propriétés purifiantes et diurétiques.


Cultivés depuis plus de 4000 ans, les poireaux étaient consommés par les Égyptiens, les Grecs et les Romains de l'Antiquité, pour leur valeur médicinale.

Ils font partie de la même famille botanique que l'oignon et l'ail et en partagent les propriétés thérapeutiques, mais de façon plus atténuée.
En médecine naturelle on les recommande surtout pour soulager les troubles respiratoires et pour leur propriétés purifiantes et diurétiques. Ils possèdent une forte capacité à éliminer l'acide urique et de ce fait soulagent les personnes atteintes de goutte ou d'arthrite.

En cas de rétention d'urine ou de cystite, on appliquera sur le bas-ventre un cataplasme de poireaux cuits, appliqué bien chaud.
Selon le naturopathe Raymond Dextreit, la richesse en sel alcalin du poireau permet de le comparer à une cure thermale à Vichy!

Il est très riche en sels minéraux très importants pour la santé de l'organisme:
  • le fer (pour les globules rouges du sang),
  • le magnésium (pour les nerfs et l'équilibre général),
  • le souffre (contre les fermentations putrides),
  • la silice (pour la souplesse des os et de la peau),
  • la soude (contre les acidités)potasse (contre les excès de graisses),
  • le manganèse (pour la digestion et l'assimilation),
  • l'acide phosphorique (tonique du système nerveux),
  • le calcium (système osseux et métabolisme général).

Le poireau est bien pourvu en azote et est un bon constructeur et régénérateur. Il possède également de la vitamine B et C.
Il contient également pas mal de mucilage et de cellulose, ce qui explique son action bénéfique dans l'intestin qu'il nettoie et lubrifie.

Être Zen en mangeant des poireaux!

Selon une étude publiée dans le Experimental Neurobiology, le poireau possèderait des vertus bénéfiques sur l'humeur. Ce serait dû à l'action d'un flavonoïde présent dans ce légume de la famille des oignons, le kaempferol, un anti-oxydant qui permet également de maintenir stable le taux de sérotonine et de dopamine, deux neurotransmetteurs importants au niveau du cerveau pour lutter contre le stress et procurer une sensation de bien-être.

Le poireau cuit peut-être consommé dans toutes les soupes ou en association avec des pommes de terre, patate douce, carottes, dans les ragouts, les omelettes.
On peut ajouter une pointe de 5 cm de poireau cru à une soupe préparée au mélangeur.
Source: 
Masantenaturelle.com

mercredi 26 juin 2013

Jetez-vous sur les asperges !


L'asperge a la forme d'un javelot, une arme redoutable, et cette forme pourrait bien symboliser ses vertus pour combattre le vieillissement et la maladie.

  1. L'asperge est bourrée de nutriments essentiels : c'est une source de vitamines A, C, E et K et de chrome, un minéral trace qui augmente la capacité de l'insuline d'apporter le glucose à vos cellules, leur carburant.
  2. Elle décuple vos capacités antioxydantes naturelles : en apportant des dérivés de la cystéine, elle augmente votre production naturelle de glutathion, un puissant composé détoxifiant et antioxydant qui aide à détruire les molécules cancérigènes comme les radicaux libres ou les médicaments toxiques comme le paracétamol. C'est pourquoi les asperges pourraient diminuer le risque de certains cancers comme le cancer des os, du sein, du colon, du larynx et des poumons. C'est aussi un aliment à consommer en accompagnement du traitement du cancer, en particulier pour protéger votre foie.
L'asperge est ainsi le légume ayant la plus grande activité antioxydante parmi 43 légumes, d'où ses exceptionnelles vertus anti-vieillissement.

L'asperge est bonne pour tout

L'asperge est riche en potassium, ce qui est bon pour les personnes souffrant d'hypertension, en fer et en rutine (450 mg·kg-1 du poids frais des asperges blanches), un flavonoïde ayant des propriétés anti-inflammatoires et anti-cancéreuses. 
La moitié de ses calories sont des protéines, ce qui contribue à calmer l’appétit et à augmenter votre masse musculaire maigre si vous êtes sportif.

L'asperge pourrait aussi aider votre cerveau à combattre les baisses des facultés mentales liées à l'âge. Comme les légumes à feuilles vertes, elle contient beaucoup de folates, qui agissent avec la vitamine B12 (que l'on trouve dans le poisson, la volaille, la viande rouge et les produits laitiers) pour prévenir la baisse de la mémoire et de la concentration. Dans une étude réalisée par l'Université de Tufts aux Etats-Unis, les personnes âgées ayant un taux élevé de folates et de vitamine B12 ont mieux réussi des tests de rapidité et de flexibilité mentale.

Enfin, l'asperge contient des taux importants d'asparagine, un acide aminé à l'effet diurétique, c'est-à-dire qui donne envie d'uriner. Elle aide le corps à se débarrasser de ses excès de sel, ce qui est très bénéfique aux personnes souffrant d'œdème (accumulation de liquides dans les tissus, jambes et pieds gonflés par exemple) et aux personnes souffrant d'hypertension.

Bio ou pas bio ?

A noter que les asperges font partie de ces légumes peu contaminés par les pesticides, y compris cultivées en agriculture conventionnelle. (5) Mieux vaut toujours les acheter bio, bien sûr, parce que l'agriculture biologique respecte mieux l'environnement. Mais du point de vue de votre consommation immédiate, la différence n'est pas notable et votre porte-monnaie appréciera.

Cuisson vapeur

Evidemment, ces puissants nutriments seront détruits pour la plupart si vous bouillez vos asperges pendant 20 minutes, ce qui est le mode de cuisson souvent recommandé dans les livres de cuisine.

Cuire vos asperges à la vapeur à température douce, les poêler avec un peu de graisse de noix de coco, ou les passer au grill (pas trop longtemps) préservera leurs vertus.

Vous pouvez les manger ensuite avec une bonne sauce hollandaise : jaune d'œuf bio, beurre bio, jus de citron, sel et poivre, que des bonnes choses !

A votre santé !


mercredi 10 avril 2013

Des pirates dans votre cerveau !

Je suis sûr que ça vous est arrivé. Vous êtes en réunion. L'atmosphère est électrique. Vous devez défendre votre projet et vous sentez que vous perdez du terrain. Vous parlez plus fort. Vous coupez la parole d'un collègue avec un rictus de plus en plus crispé. Il monte d'un ton à son tour et vous faites un geste en sa direction, prenant tout le monde à témoin que c'est vous qui avez raison.

A ce moment-là, ce n'est plus vraiment vous qui parlez. Votre corps et votre bouche ont pris leur indépendance. Vous êtes littéralement « en dehors » de vous-même. En termes de neurochimie (la chimie du cerveau), vous êtes victime d'un détournement.
Dans les situations de stress important, de peur et de défi, une hormone, qui est aussi un neurotransmetteur (qui active la communication entre les neurones et les cellules nerveuses) inonde le cerveau : c'est le cortisol. Les fonctions de notre cerveau liées à la raison, à la réflexion, à la prudence, à la compassion, au long terme, sont provisoirement bloquées. Et l'amygdale, notre cerveau instinctif, prend le contrôle. Le corps produit des substances chimiques pour se protéger de la honte et la perte de crédibilité et, en conséquent, devient incapable de réguler ses émotions ou de gérer la différence entre ses attentes et la réalité.
Pris de panique, il n'a que quatre actions réflexes parmi lesquelles choisir : le combat (continuer la dispute), la fuite (s'en remettre à la décision du groupe), le silence (abandonner la partie et se taire), ou l'apaisement (se réconcilier avec l'adversaire en se soumettant entièrement à lui).

Chacune de ces options est mauvaise car elle exclut que les informations et les opinions de chacun soient partagées et prises en compte de façon honnête et utile à tous. Le réflexe du combat est, de loin, le plus nuisible aux relations. C'est aussi, malheureusement, le plus répandu.
Cela est dû un autre phénomène neurochimique : lorsque vous discutez et « gagnez », votre cerveau est envahi d'adrénaline et de dopamine, des hormones qui vous donnent une sensation de bien-être, de force, et même de domination. Vous vous sentez invincible. C'est cette sensation que chacun de nous cherche à se provoquer, une nouvelle fois. Lorsque se présente une nouvelle occasion de discuter (en vieux français, « disputer » était synonyme de discuter), nous cherchons à nouveau à combattre. Nous devenons « accrocs » au fait d'avoir raison.

Un très grand nombre d'hommes politiques et de dirigeants d'institutions souffrent de cette addiction. Ils deviennent extrêmement forts à ce jeu de défendre leur point de vue et de triompher de leurs adversaires en manipulant les arguments. Chaque fois, ils ressentent d'intenses bouffées de plaisir mais ne mesurent pas l'impact de leur comportement sur les personnes qui les entourent. En fait, ils finissent par se nuire à eux-mêmes en écrasant leurs collaborateurs, qu'ils poussent à choisir eux aussi entre ces réactions de combat, fuite, silence ou apaisement qui ainsi, diminuent les effets bénéfiques de la collaboration.

Heureusement, il existe une autre hormone qui nous procure le même plaisir que l'adrénaline : l'ocytocine. Sa production est déclenchée par la proximité avec d'autres êtres humains, et nous fait éprouver le bonheur d'être ensemble. Elle active les zones de décision dans notre cerveau rationnel, ou cortex préfrontal, augmentant encore notre capacité à faire confiance et à nous ouvrir aux opinions des autres. Votre but, dans vos fonctions de leader (dans votre famille, vos activités, votre métier...), est des stimuler votre production d'ocytocine, et celle des personnes qui vous entourent, tout en évitant les pics de cortisol et d'adrénaline.

Voici quelques exercices à faire au travail pour vous libérer (et libérer les autres) de l'« addiction » à vouloir toujours avoir raison :
  • Enoncez les règles en début de réunion : au moment de commencer une réunion qui risque d'être tendue, commencez par édicter clairement des règles de communication entre les participants. Demandez à chacun de suggérer des moyens de rendre les échanges productifs et respectueux, et écrivez ces règles sur un tableau pour que tout le monde les voie. Par exemple, vous pouvez prévoir des séquences plus longues pour permettre à chacun d'exprimer ses idées et être écouté sans être jugé ni interrompu. Prenez soin de prévenir les participants de la possibilité qu'une dispute commence, et donnez la procédure à mettre en route pour la stopper avant que les choses ne s'enveniment. A la fin de la réunion, revenez sur les moments de la réunion qui ont été « chauds ». Le fait d'en parler ouvertement permettra de réconcilier (au moins partiellement) les personnes qui se seront, malgré tout, impliquées de façon trop passionnée.

  • Ecoutez avec empathie : dans les échanges en face à face, faites un effort délibéré pour parler moins, et écouter plus. « La parole est d'argent, mais le silence est d'or ». Plus vous en apprendrez sur votre interlocuteur et sur son point de vue, plus vous aurez de chance de sentir de l'empathie pour lui. Et si vous faites cela avec les autres, ils auront envie de le faire pour vous, créant un cercle vertueux.

  • Distribuez la parole : dans les cas où vous savez quelle est la personne qui va probablement dominer le groupe, prévoyez un temps de parole pour que chacun puisse s'exprimer. Demandez à chacun d'indiquer qui, dans la salle, a des informations et des idées importantes à partager. Faites en une liste au tableau, et inscrivez-y les contributions de chacun.

  • Parlez le plus tard possible : lors d'une réunion, comme d'un débat à la télévision, la personne qui assiste calmement aux échanges, sans rien dire, imposera facilement le silence, et sera bien écoutée par tous, au moment où elle finira par prendre la parole. Plus les autres auront parlé longtemps, plus son avis sera écouté. C'est un avantage tactique considérable, car c'est souvent le dernier point de vue exprimé qui marque le plus les esprits, et aura le plus de chances d'être retenu.

Vous reprendrez les manettes de votre cerveau, pour des relations familiales, sociales, et professionnelles, plus agréables, épanouissantes, et productives. Et vous aiderez également les autres à se débarrasser, eux aussi, des pirates.

mardi 12 mars 2013

Une recette économique toute simple pour divers usages

une recette économique toute simple pour divers usages, aux senteurs de la Provence, non toxique pour les enfants, les animaux de compagnie et notre environnement :)
dans un bocal hermétique, mettez les fleurs de lavande séchées, puis versez votre vinaigre blanc. Le vinaigre doit remplir complètement votre bocal. 

Mettez votre bocal dans un endroit exposé au soleil ou à une autre source de chaleur (radiateur ou cheminée). laissez macérer pendant 3 semaines. Remuez votre bocal de temps en temps.

Après cette période de macération, il est temps de filtrer votre vinaigre. Pour cela utilisez un vieux torchon. Versez votre vinaigre à travers ce tissu et au dessus d’un récipient pour récupérer tout le jus.

votre vinaigre aura une teinte ambrée. Pressez bien les fleurs pour en extraire tout le jus.

Mettez dans un flacon ou une bouteille.

Pour l’entretien de la maison :

Pour nettoyer le sol, mettez environ 2 bouchons de vinaigre de lavande dans votre seau contenant de l’eau chaude : nettoyage, désinfection et bonne odeur seront au rendez-vous.
Pour nettoyer vos toilettes naturellement et parfumer vos WC.
Pour nettoyer vos vitres en les dégraissant
anti fourmis : pulvériser dans les endroits où elles s'infiltrent dans la maison (plaintes, fissures etc...)

Pour l’entretien du linge :

Remplacez votre adoucissant par du vinaigre de lavande : les vertus anti-calcaire du vinaigre, efficace pour le ligne et pour le lave-linge, seront associées à une bonne odeur en ouvrant le tambour de la machine.

Pour l’hygiène et la beauté :

Ce vinaigre est bon pour les cheveux. Lors de votre dernier rinçage, utilisez 1 volume de vinaigre pour 8 volumes d’eau. Vous pourrez dire au revoir aux pellicules et vos cheveux seront brillants
appliquez le vinaigre de lavande pour soulager les démangeaisons de piqûres de moustiques.
il serait efficace pour prévenir et chasser les poux dans les cheveux et les puces sur les animaux.
Si vous avez une peau grasse ou à problème…
pour les peaux grasses et à problèmes. Il prévient l’apparition des comédons (points noirs) et resserre les pores de la peau. Mélangez 1 volume de vinaigre de lavande pour 8 volumes d’eau. Ensuite, rincez votre visage avec cette lotion.
Vous pourrez vous en servir pour lutter contre les boutons d’acné. Après la toilette du soir, rincez votre visage à l’eau tiède additionnée d’1 cuillère à soupe de vinaigre à la lavande pour un demi-lavabo d’eau.

Voilà un produit naturel à portée de toutes les bourses, dégageant une odeur agréable et non toxique pour nos enfants, nos animaux de compagnie et notre environnement.

Les bienfaits de la lavande :

La lavande est une plante qui possède de nombreuses propriétés médicinales. Voici une petite liste de ses bienfaits :

Puissant antiseptique
cicatrisant
bactéricide
parasiticide
analgésique
diurétique
sédative
antispasmodique
antirhumatismal

Elle a la réputation de soulager les insomnies, les indigestions, les maux de tête, les infections respiratoires, les douleurs musculaires.

mardi 5 mars 2013

Quatre conseils pour abaisser l’index glycémique d’un repas


Des pistes concrètes pour améliorer la qualité nutritionnelle de vos repas

Que vous soyez en bonne santé ou que vous ayez un sucre sanguin trop élevé, il est bon de contrôler l’index glycémique (IG) de ses plats pour éviter les pics de glycémie qui suivent certains repas. Ces pics fatiguent le pancréas ; ils entraînent aussi une baisse d’énergie, une sensation de faim, conduisent au surpoids. A long terme, ils peuvent favoriser le diabète. Quelques astuces pour les limiter.


Mélangez des légumes à vos plats

Les légumes ont un index glycémique bas. Vous pouvez abaisser l’index glycémique d’un plat de pâtes ou de riz, en réduisant dans l’assiette la part du féculent et en la remplaçant par une quantité équivalente de légumes. Par exemple, en mélangeant à part égale courgettes ou aubergines et pâtes. C’est un moyen savoureux et rapide de mieux contrôler sa glycémie et d'améliorer la densité nutritionnelle des plats.



Ajoutez du vinaigre

Le vinaigre abaisse l’index glycémique d’un repas ou d’un plat dans des proportions assez importantes (15 à 35 % en moyenne). Le vinaigre peut être utilisé en vinaigrette ou ajouté à un aliment (le riz dans les sushis), voire pour les plus courageux, avalé avant le repas. Le vinaigre améliore aussi la sensibilité à l’insuline aussi bien chez les personnes en bonne santé que chez celles qui sont résistantes à l’insuline ou qui souffrent de diabète. Cela marche aussi avec du citron…


Buvez du thé vert

Les flavonoïdes du thé vert réduiraient le niveau du sucre sanguin après un repas contenant de l’amidon (féculents). Dans une étude, les flavonoïdes ont été administrés sous la forme d’extraits et non de thé. Les chercheurs qui ont conduit cette étude pensent que les flavonoïdes agissent en inhibant l’enzyme qui nous permet de démanteler l’amidon pour en extraire le glucose, à condition de prendre le thé pendant le repas, pas plus tard. Les flavonoïdes n’ont eu aucun effet sur l’administration de sucres simples.

Expérimentalement, les composants du thé vert inhibent des enzymes impliquées dans le métabolisme des aliments glycémiants comme l’α-amylase et la maltase.

Une étude récente a conclu que le thé vert bu au cours d’un repas favorise la satiété plus que ne le fait l’eau.


Utilisez la cannelle

La cannelle peut aider à contrôler la glycémie qui suit un repas riche en farineux. C’est le cas semble-t-il chez les personnes en bonne santé. Lorsqu’existe une résistance à l’insuline, une intolérance au glucose ou un diabète, les études sont contradictoires : certaines trouvent que la cannelle est efficace, d’autres pas. Les doses utilisées dans les études vont de un à six grammes par jour (un gramme = une demi-cuillère à café), mélangés aux aliments, par exemple à un dessert.

Il est préférable d'employer les doses les plus basses, en particulier dans les maladies du foie et des reins car certaines variétés contiennent des doses élevées de coumarine qui peut se révéler toxique. La variété Cinnamomum verum (cannelle « vraie », aussi appelée C. zeylanicum) est plus sûre que la variété « cassia », très riche en coumarines. Le problème est que dans les épices du commerce, les deux variétés sont mélangées, avec un avantage de plus en plus grand à cassia qui est moins chère ! L’idéal est de se procurer sa cannelle chez un fournisseur qui indique clairement sa provenance.

mercredi 20 février 2013

Découverte d’un gène viral mortel dissimulé dans des céréales OGM commercialisées

fév 10th, 2013 Google +6
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Quelques mois seulement après qu’une étude aujourd’hui célèbre ait découvert que le maïs NK603 génétiquement modifié de Monsanto entraîne de sérieux dommages et des tumeurs sur les mammifères, un article publié par l’Autorité Européenne de Sécurité Alimentaire (AESA) a mis
au jour que la plupart des OGM d’usage commercial actuels contiennent
un gène viral dissimulé qui semble dangereux à consommer par les
humains.

Cet important article met en lumière le fait que 54 caractères OGM sur
86 actuellement approuvés pour utilisation, ou en gros 63 %,
contiennent un étrange gène viral nommé  »gène VI », qui, selon les
recherches, altère la fonction normale des céréales.

Cette altération est présente dans une majorité d’OGM largement
cultivés et commercialisés aujourd’hui, dont les maïs NK603 et MON810,
ainsi que les graines de soja Roundup-Ready, tous produits par
Monsanto. Et les chercheurs ont découvert que ce gène mutant peut
induire des changements accidentels dans le phénotype, qui peut
entraîner des mutations physiques et biochimiques graves dans les
organismes.

»Au cours de l’analyse d’identification d’allergènes potentiels dans
les céréales OGM, l’AESA a découvert tardivement que la séquence de
régulation génétique habituelle des OGM commerciaux encode aussi un
fragment important du gène viral », explique Independant Science News
(ISN) à propos de la découverte.

Basée sur une recherche antérieure impliquant un lien entre gènes
viraux, plantes et santé humaine, la nouvelle découverte soulève de
sérieuses inquiétudes sur la sécurité de nombreux OGM à production
commerciale actuels. Comme le but inhérent des gènes viraux est de
désactiver un hôte ce qui autorise une invasion pathogène, leur
présence dans des aliments contenant des OGM représente une grave
menace aussi bien pour les plantes que pour la santé humaine.

Le Gène VI, preuve tangible que les OGM sont impropres à la consommation humaine

Jusqu’à présent, l’industrie de la biotechnologie a maintenu que les
OGM sont virtuellement identiques aux organismes naturels, et qu’il
n’y a aucune différence structurelle ou fonctionnelle entre les OGM et
les céréales cultivées naturellement pour leur devenir dans le corps
humain. Mais la présence du gène VI dans une grande majorité d’OGM
déboulonne complètement ce mythe.

Comme les céréales naturelles ne possèdent pas le gène VI, elles ne
risquent pas d’engendrer les mêmes infections virales que les OGM en
contenant. Selon l’analyse sur la fonction du gène VI, le défaut
génétique facilite non seulement l’assemblage de virus potentiellement
tueurs dans le tissu de la plante, mais il supprime aussi les défenses
naturelles contre les maladies, rendant les céréales et peut-être les
humains qui les mangent, plus sensibles aux maladies.

La présence du gène VI laisse les céréales transgéniques
fondamentalement sans défenses contre les maladies et les
envahissements de virus et on pense qu’il cause une expression de gène
aberrante dans les céréales qui le possèdent. Cela veut dire que la
séquence génétique toute entière d’une plante peut muter à cause du
gène VI, résultant en une production de protéines incohérentes dans
les cellules de la plante, une expression à tort et à travers du gène
dans l’organisme et même des malformations de croissance.

Les scientifiques connaissaient depuis des années la présence de gènes
viraux semblables dans les OGM, mais ils n’ont jamais précisé
exactement la manière dont ces gènes et les changements génétiques
énormes qu’ils induisent affectent la santé humaine. Et aucun
gouvernement ayant approuvé des OGM commerciaux contenant des gènes
viraux n’a jamais exigé que des tests de sécurité corrects soit faits
pour identifier toute menace potentielle sur la santé, ce qui veut
dire que l’humanité sert de cobaye collectif à cette expérience
scientifique de biotechnologie à grande échelle.

»Une information pertinente sur l’existence du gène VI était librement
disponible dans la littérature scientifique bien avant la première
approbation biotech, » ajoute l’ISN sur ce scandale.

Source: Natural News

Traduit par Hélios pour le BBB